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Les sept merveilles du monde

carte

la pyramide de KhéopsLes jardins suspendus de Sémiramis à Babylonela statue de Zeus olympienLe temple d'Artémis à Éphèsele mausolée d'Halicarnassele colosse de Rhodesle phare d'Alexandrie


- histoire - galerie -


Les jardins suspendus de Sémiramis à Babylone

Les jardins suspendus de Sémiramis à Babylone est la deuxième merveille du monde. Construite vraisemblablement vers 600 av J.-C. sous le règne de Nabuchodonosor II (604-562 av. J.-C.).

Caractéristiques et propriétés de l’œuvre

Pins et peupliers poussaient à l'ombre des palmiers, étagés sur des salles voûtées entre le palais et la porte d'Ishtar. Le terme suspendus vient en fait de la surévélation des jardins. Grâce a un ingénieux système d'irrigation la végétation y était luxuriante et cela contrastait énormément avec les étendues sableuse du désert qui l'entouraient. L'eau qui permettait l'irrigation était prélevée directement dans le fleuve l'Euphrate.

Cette merveille était proche de la Tour de Babel et des Palais des Rois où habitait Nabuchodonosor.

Histoire de l'œuvre

Cette oeuvre a été construite en vue de satisfaire l'épouse de Nabuchodonosor II qui avait la nostalgie de sa région natal, la Médie contrée montagneuse et boisée. L'abandon progressive du système d'irrigation provoqua la disparition des jardins suspendus et la cité de Babylone déclina peu à peu jusqu'à s'éteindre à l'époque Romaine. 

A la fin du 19ème siècle et durant la 1ère guerre mondiale les archéologues allemands ont récupéré quelques briques de la muraille qui entouraient les jardins. Ils reconstruisirent ensuite une portion de la muraille à Berlin et aujourd'hui celle-ci se trouve dans un musée à ce même endroit. On peut voir notamment la porte d'Ishtar superbement décorée avec des dragons et des taureaux mythiques qui avaient pour rôle de protéger la ville. 

Avant, la muraille et les jardins constituaient deux des sept merveilles du monde mais après la construction du Phare d'Alexandrie, la muraille perdit sa place.

Aujourd'hui, il ne reste aucune trace de ces vestiges sur le site d'origine.